'La
chair est mortelle, rien n'est éternel' comme l'a écrit de poète
Shelley. Cet été la dernière fois que j'ai vu Tjens-Matic en concert du
côté de Zebbrugge, la sono contrairement à d'habitude n'a pas diffusé
des vieux blues d'Howlin' Wolf mais un réquiem et peu importe si c'était
celui de Mozart ou un autre !
C'était en tout cas comme un sacré rappel
à l'ordre à la réalité de nos vies éphémères.
Et que l'homme qui rentre par la porte de derrière est une femme : LA MORT.
BONUS